New Tango et musique de chambre singulière avec SOLEDAD !
Soledad fête ses 20 ans en trio !
Album avril 2017 chez Warner
Distribution :
Manu Comté • accordéon et bandonéon
Alexander Gurning • piano
Jean-Frédéric Molard • violon
Soledad fête Ses 20 ans d’existence avec un véritable retour aux sources !
Cette nouvelle formule “trio" emmène vers un épurement des lignes mélodiques et vers une limpidité rythmique. Leur répertoire de prédilection allant de Piazzolla à Ravel en passant par quelques compositions originales est un terrain de jeu où le spectre sonore prends une autre vie.
Entre distillation de couleurs et intensité émotionnelle, ce retour à l’essentiel permet à leur énergie originelle de s’exprimer avec aisance et générosité.
Rendez-vous très prochainement pour des concerts en trio, des surprises et des invités prestigieux !
Soledad s’est établi ajourd’hui comme un des meilleurs ensembles du genre. Ils ont joué aussi bien des grands festivals comme La Roque d’Anthéron, Miami, Montreal, Lugano, que des tournées dans les théatres en Europe, au Canada et au Japon.
Lorsque le groupe Soledad voit le jour en 1995, c'est en explorant la musique de Piazzolla qu'il se fait connaître du public. Au fil du temps, ils adaptent aussi les bandes originales de films de Delvaux et Almodovar, se nourrissent de Stravinsky, Devreese et Gismonti.
Ils poussent leur formation vers un son volcanique et sans concessions; leur cohésion, leur énergie tantôt colorée, tantôt monolithique, trouvent un accueil passionné et direct auprès du public, et sortent 4 albums chez EMI/Virgin Classics.
Si tout leur est permis grâce à leur maîtrise instrumentale issue du classique, chacun d'entre eux distille ses influences personnelles (Contemporain, Jazz, Blues, Fusion, Rock) dans un univers pourtant né d'influences latines.
Avec son nouvel album « Soledad plays Soledad» , il s'agît d'un rebond déjà amorcé par un disque « live » sorti chez Enja en 2010. Leur évolution prend un tournant ici décisif: 17 ans plus tard, le groupe inclut un percussionniste, et en jouant pour la première fois leur propre musique, Soledad repousse les barrières de sa créativité. L'enregistrement inclut aussi le titre « Por Toda Minha Vida » de Tom Jobim, où Soledad collabore avec la chanteuse Maurane.
L'album est sorti mondialement chez Outhere Music en mars 2014.
En accord avec Jazztronaut
SOLEDAD voit le jour en 1995 par la rencontre de cinq jeunes musiciens tous en possession d'une solide formation classique. Séduits par l'oeuvre d'Astor Piazzolla, ils se spécialisent dans l'interprétation du Tango Nuevo. L'originalité de cette formation et sa personnalité suscitent l'intérêt de plusieurs compositeurs d'aujourd'hui comme Frédéric Devreese, Alberto Iglesias, Daniel Capelletti, et amènent également les musiciens du groupe à la création de leurs propres arrangements colorés par leurs influences diverses.
Cette approche actuelle emmène SOLEDAD sur le chemin tracé par Piazzolla et ouvre de nouvelles perspectives musicales. Le groupe a très rapidement obtenu les faveurs des salles. Lors d'un de leurs concerts au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles en avril 2000, ils rencontrent Martha Argerich. Celle-ci les invite alors à se produire avec elle sur différentes scène internationales.
En janvier 2002, SOLEDAD clôture la cérémonie des Victoires de la Musique Classique en direct sur France 3. En décembre 2002, le groupe reçoit un "Choc de l' année" décerné par la rédaction de la revue spécialisée française "Le Monde de la Musique" pour son premier album,"Soledad", chez Virgin Classics. « Univers pathétique et enivrant, martelé d’ivoire, aux arrière-pensées d’Argentine, les douze titres de cet album de tango constituent une course à bout de souffle qui fascine, dans un répertoire qui va d’Astor Piazzolla à Richard Galliano, en passant par Daniel Capelletti, Michel Lysight et Igor Stravinsky. Pour réussir ce coup de maître, il fallait des virtuoses. Les virtuoses, c’est le groupe Soledad. » (Le Monde de la Musique, Georges Gad – 12/2002)
L’Union de la Presse Musicale Belge désigne chaque année un « Jeune Musicien de l’Année ». En 2002, les nominés étaient le pianiste Piotr Anderszewski, le chef d’orchestre Mikko Franck, la soprano Juliane Banse, la violoniste Leila Josefowicz et l’ensemble Soledad.
Le deuxième album de Soledad, au titre évocateur de "Del Diablo", est sorti en 2003 chez Virgin Classics. Le troisième album « Passage » - dédié à la musique du compositeur Frédéric Devreese et avec la collaboration du grand guitariste Philip Catherine - en octobre 2006 sur EMI/Virgin Classics.
Les albums ont reçu les plus grands éloges dans la presse nationale et internationale, et partout le groupe séduit les audiences.
« la musique jouée par Soledad sonne et vibre "Soledad". On en a eu une nouvelle démonstration - éblouissante - vendredi soir, au studio 4 (comble) de Flagey. Visuel rock - fumées et light show -, public mêlant trois générations aux cultures et aux attentes différentes, applaudissements sur la musique après les solos, aucune règle n'était générale, on était hors tout. Soledad a joué pour rendre le public heureux ici et maintenant.» (La Libre, 22/11/2006)
Le dernier album "Soledad - In Concert", (Enja Records) est sorti mondialement en 2010. Enregistré lors de deux soirées magiques dans l'acoustique idéale du studio1 de Flagey à Bruxelles, le répertoire inclut première fois des compositions des membres du groupe, ainsi que des versions sublimes d'oeuvres de Egberto Gismonti, Stravinsky et évidemment Astor Piazzolla pour lequel Soledad a prouvé d'être l'interprète rêvé.
C’est sur les scènes des plus grandes salles et festivals internationaux que l'on retrouve SOLEDAD aujourd'hui, comme le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Suntory Hall de Tokyo,le Grand auditorium du Palais des festivals à Cannes, le Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de La Roque d' Anthéron en France, aux Argerich festival de Taïpeï (Taïwan), de Lugano (Suisse), de Beppu (Japon), le Montreal Jazz Festival,au Festival de réouverture de La maison de la radio Flagey à Bruxelles, à l' Euromeet jazz et aux Veneto Jazz festivals en Italie, à l' Al Bustan Festival au Liban, au Miami Festival en Floride ainsi que des tournées en Europe, au Japon et au Canada.
Les critiques sont unanimes, qu’ils soient spécialisés en musique classique, musique du monde, jazz ou rock : Soledad est impressionnant et subjuge tout public, réunissant une technique parfaite à une sensibilité musicale profonde et une fougue éblouissante.
Avec son nouvel album «SOLEDAD plays SOLEDAD» - en 2012, il s'agît d'un rebond déjà amorcé par un disque « live » sorti chez Enja en 2010. Leur évolution prend un tournant ici décisif: 17 ans plus tard, le groupe inclut un percussionniste, et en jouant pour la première fois leur propre musique, Soledad repousse les barrières de sa créativité. L'enregistrement inclut aussi le titre « Por Toda Minha Vida » de Tom Jobim, où Soledad collabore avec la chanteuse Maurane.
Manu Comté : accordéon
Manu Comté a fondé Soledad en 1995. Il est lauréat de nombreux concours en Belgique et à l’étranger. Il est régent en pédagogie musicale de l’Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie à Namur. Un premier prix en musique de chambre et le diplôme supérieur d’accordéon lui sont attribués avec « la plus grande distinction et les félicitations du jury » à Mons. En 1998 Emmanuel Comté obtient le premier prix de la Ville de Paris, avec les félicitations du jury, dans la classe d’accordéon moderne de Frédéric Deschamps au conservatoire « Lili et Nadia Boulanger », et étudiera également avec Jacques Mornet et Richard Galliano.
En 1996, il fait une tournée mondiale en tant qu’accordéon solo avec la production « Het muziek lodt ». Il a participé à de nombreux concerts en tant que chambriste et soliste en Europe et Amérique latine.
Alexander Gurning piano
Né à Bruxelles en 1973, de parents indonésiens et polonais. Ses études musicales sont fortement marquées par des influences françaises et russes: il commence ses études de piano chez François Henri Aubin, il obtient ensuite un Premier Prix du Conservatoire Royal de Bruxelles dans la classe de Nicole Henriot- Schweitzer, et un Diplôme Supérieur avec la plus grande distinction et les félicitations du jury dans la classe d’Eugène Moguilevsky dont il est alors l’assistant. Il reçoit aussi les conseils de yorgy Sebök et Lev Naoumov et suit plus tard, au Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou, l’enseignement de Victor Merzhanov.
Depuis, on a pu l’entendre dans divers festivals, dont ceux de Beijing, Beppu, Sapporo, de Saratoga, Tanglewood, Schleswig-Hollstein, de Obidos, Sintra, Ravello, Lugano, de La Roque d’Anthéron, et de Verbier. Sa discographie inclut aussi bien de la musique de chambre, avec l’ensemble Soledad (Virgin Classics), avec Renaud Capuçon (EMI), que du répertoire pianistique : son isque paru également chez EMI dans la série « Martha Argerich presents… » en 2004 a été élu « Choc du Monde de la Musique ». En 2011 il a enregistré les Goldberg Variations de J.S. Bach pour le label Avanti Classics. Avec orchestre, Alexander Gurning s’est notamment produit avec l’Orchestre National de Belgique, l’orchestre de la VRO, l’Orchestra della Svizzera italiana, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le Boston Symphony Orchestra et le Philadelphia Orchestra, sous la baguette d’Alexander Rabinovitch, Charles Dutoit et Myung-Wun Chung. Il est membre fondateur de Soledad.
Jean-Frédéric Molard violon
Issu d’une famille de musiciens, Jean-Frédéric Molard commence très jeune le violon avec son père. Après ses études en France au Conservatoire de Tours et au C.N.R. à Paris, il entre au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles où il obtient brillamment le diplôme supérieur de violon (A. Cleve) et celui de musique de chambre. Depuis 1998 il joue entre autres avec le L’Orchestre de Chambre de Wallonie et l’Orchestre Philharmonique de Liège, et depuis 2003 avec Soledad.
"SOLEDAD PLAYS SOLEDAD"
Outhere Music - mars 2014
“SOLEDAD - IN CONCERT”
ENJA Records (sortie mondiale février 2010)
PASSAGE
EMI-VIRGIN CLASSICS (2006)
Soledad plays the music of Frédéric Devreese
Featuring Philip Catherine
“ Depuis leur étourdissante collaboration sur Passage à cinq en 2002, l'ensemble Soledad et le compositeur Frédéric Devreese signent un nouvel album d'une énergie irrésistible, rejoints par le génial improvisateur et guitariste de jazz Philip Catherine. Cette fois, nous sommes entraînés sur le thème virevoltant de la valse qui enrichit les oeuvres du compositeur belge. Frédéric Devreese a lui-même choisi et arrangé les pièces destinées à leur nouvelle rencontre, adaptant certaines de ses musiques de films, quelques morceaux de son ballet Gemini et les finales de ses Deuxième et Quatrième concertos pour piano. Un carrousel d'atmosphères dansantes qui déclinent nos souvenirs et nos émotions en d'éclatantes nuances ! Le cœur bondit quand chaque musicien déploie sa virtuosité en d'ardents solos avant de se fondre à l'ardeur d'une effusion commune, nous laissant à peine le temps de reprendre notre souffle. La vie tourbillonne, exaltante sur le fil d'inquiétantes dissonances ! Etrange et nôtre à la fois, elle s'échappe et séduit, discordante, fascinante, saisie par l'extraordinaire virtuosité d'un ensemble hors du commun. “
Isabelle Françaix - Ramifications, le 29 septembre 2006
DEL DIABLO
EMI-VIRGIN CLASSICS (2004)
Piazzolla, Iglesias, Devreese, Capelletti
"...Sur Del Diablo, on goûte un travail d'acrobate sonore pour un résultat tonique et scintillant, des sensations de vigueur énormes tranchent avec les voluptés des apaisements provisoires.
Là aussi, Soledad, s'inscrit dans la modernité... Dans les centaines de disques à l'Ouest du rock (à l'Est, vous allez vers Dame Classique), très peu ont ce mélange de hargne et d'élégance, de limpidité et d'imagination... Soledad essaie, innove, se donne, expérimente. Bâtit une maison qui ne ressemble pas aux autres..."
Philippe Cornet - le Vif / l' Express
« Les cinq musiciens de Soledad montrent sur leur CD "Del Diablo" qu'ils ne sont pas seulement des instrumentistes virtuoses. Bien plus importants sont leur grande passion et leur plaisir de jouer. La nouvelle du savoir impressionnant de Soledad s'est entre-temps également largement répandue. C'est ainsi que le quintette a déjà donné plusieurs concerts en Italie, en Espagne, en France, au Liban et également au Japon. »
NDRinfo.de
SOLEDAD
EMI-VIRGIN CLASSICS (2002)
Piazzolla, Galliano, Stravinski, Lysight
Choc de l' année 2002 du magazine " Le Monde de la Musique "
" Univers pathétique et enivrant, martelé d’ivoire, aux arrière-pensées d’Argentine, les douze titres de cet album de tango constituent une course à bout de souffle qui fascine, dans un répertoire qui va d’Astor Piazzolla à Richard Galliano, en passant par Daniel Capelletti, Michel Lysight et Igor Stravinsky. Pour réussir ce coup de maître, il fallait des virtuoses. Les virtuoses, c’est le groupe Soledad... "
Georges Gad - Le Monde de la Musique, Décembre 2002
SOLEDAD PLAYS PIAZZOLLA
Chamber (1998)
“Soledad plays Piazzolla” – Chamber (1998)
Télécharger la presse
Ne dit-on pas que l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même ?
Soledad applique enfin cette vérité et joue… Soledad !
On se demande d’ailleurs pourquoi il a mis si longtemps avant de franchir le pas ? Pour construire et affiner son univers ? Pour trouver ou affirmer ses racines ? Ou, au contraire, pour s’en défaire ?
Manu Comte (acc), Alexander Gurning (p), Jean-Frederic Molard (v) et Patrick De Schuyter (g) se sont d'abord forgés une solide réputation en jouant Piazzola, puis Stravinsky, puis Gismonti et puis les autres. Ils ont fait le tour du monde, ont collectionné les récompenses, ont accumulé les reconnaissances. Fallait-il être humble à ce point pour toujours remettre à plus tard la mise en lumière de leurs propres œuvres ?
Pourtant, à l’écoute de ce dernier album, on peut affirmer sans crainte que les compositions originales n'ont rien à envier aux thèmes de Carlos Jobim ou d’Hermeto Pascoal auxquels ils se mêlent. Dans cet album, toute l’âme de Soledad y est définitivement révélée, dessinée, installée. L'expression des sentiments et les différentes émotions sont ici dévoilées avec beaucoup de pudeur ou, au contraire, jetées avec une fougue libératrice.
Les arrangements sophistiqués et les exposés d’idées en mode «champs contre champs» (Soledad n’a pas travaillé les musiques de films pour rien), nous font passer des sentiments joyeux et faussement insouciants à d’autres, plus intimes et indicibles… Oui, Soledad remue.
Cette mixture délicate et puissante d’accordéon, de guitare, de violon et de piano est soutenue par la contrebasse chantante de Sam Gertsmans et rehaussée par les percussions chaleureuses de Michel Seba. Si ces deux derniers viennent de rejoindre Soledad, c’est peut-être plus pour renforcer l'esprit du groupe que pour le faire changer. Quoique… On perçoit un frémissement plus jazz par-ci, un emballement plus funk par-là, des accentuations plus rock ailleurs. Oui, Soledad brouille les pistes et mélange ces tensions qui libèrent le souffle, l'air et la vie et qui rendent la mélancolie salutaire. On devine toujours la sensualité moite d’une danseuse de tango prête à s'écrouler avant qu’elle ne soit retenue, in extremis, par son compagnon.
«Eden» s’éveille petit à petit avant de groover sous la pulse de Michel Seba, «Victor» s’emballe sur des riffs de guitares rock, un léger esprit Philip Catherinien vient caresser «Moonmist», «Rebound» sautille aux sons d’un piano et d’un accordéon enivrés de soleil, «Recco» réinvente la new-musette, «Homilia» fait s’accorder à l’unisson le bandonéon et le violon tandis que Maurane prête sa voix à un «Por Toda A Minha Vida» déchirant.
Sur la pochette, un marteau frappe le plancher – à la façon du talon des chaussures de flamenco – comme pour briser quelque tabou. Soledad joue Soledad et c’est une certaine idée de la tradition qui est revisitée par la modernité. Et c’est bon.
http://jazzques.skynetblogs.be/ 10 janvier 2013
"En écoutant le groupe Soledad, j'ai été frappée par leur rare intensité. Réunissant intelligence, savoir-faire et sex-appeal, ils m'ont transportée dans le monde mystérieux et tragique du tango." Martha Argerich
"Le swing, la rage, l'émotion, la sonorité : Soledad... Enfin un groupe de merveilleux Musiciens qui joue la musique d'Astor Piazzolla comme elle doit être jouée... avec Passion. Je suis certain que si Astor Piazzolla était encore parmi nous il dirait, comme il m'a dit souvent lors de collaborations : "Vous avez fait un bon travail !"
Je tiens à féliciter Soledad pour la version de Tango pour Claude. Magnifique !
Un disque E-PA-TANT.
Musicalement votre, " Richard Galliano
« Initialement voué au "tango nuevo", mais sans exclusive, l'ensemble Soledad se dota d'emblée d'un son, d'un style et d'une ambiance propres; quels qu'en soient les compositeurs - mais justement, ils ne sont jamais quelconques - la musique jouée par Soledad sonne et vibre "Soledad". On en a eu une nouvelle démonstration - éblouissante - vendredi soir, au studio 4 (comble) de Flagey, lors d'un concert essentiellement voué à la musique de Devreese, où le quintette se fit aussi sextuor, rejoint en deuxième partie par Philippe Catherine, pour proposer tango, "musique contemporaine" et jazz, avec même quelques passages d'improvisation (à six !).
Visuel rock - fumées et light show -, public mêlant trois générations aux cultures et aux attentes différentes, applaudissements sur la musique après les solos, etc. aucune règle n'était générale, on était hors tout. (...) Il n'y avait vendredi aucune nécessité de background, et, partant, aucune arrière-pensée prosélyte du type : "amener le grand public à la grande musique". En pleine possession d'un répertoire "contemporain" devenu sien, Soledad a joué pour rendre le public heureux ici et maintenant. Sans jamais quitter le plus haut niveau technique - la virtuosité -, ce qui reste encore un domaine objectif et une condition indispensable pour entrer dans le champ artistique. (...) » Martine D. Mergeay - La Libre Belgique
“...on goûte un travail d'acrobate sonore pour un résultat tonique et scintillant, des sensations de vigueur énormes tranchent avec les voluptés des apaisements provisoires. Là aussi, Soledad, s'inscrit dans la modernité... Dans les centaines de disques à l'Ouest du rock (à l'Est, vous allez vers Dame Classique), très peu ont ce mélange de hargne et d'élégance, de limpidité et d'imagination... Soledad essaie, innove, se donne, expérimente. Bâtit une maison qui ne ressemble pas aux autres..." Philippe Cornet - le Vif / l’Express
Getting passionate about tango
“…The Soledad Quintet, a group of highly talented musicians, came together to perform the music of Piazzolla, bringing to it their skills as chamber musicians./…/ In any case, Soledad has created its own arrangements for its somewhat unconventional array of instruments. The group is made up of violin, piano, guitar, double bass and accordion. Their success as interpreters of Piazzolla has led to interest in the group by other contemporary composers. Soledad achievement has been recognized by the classical music establishment, especially in its association with Martha Argerich, who first heard them in 2000. With her support, they performed at the Royal Conservatoire in Brussels in 2001 and visited Taipei last year as part of the Martha Argerich Festival in April.
In effect, the group continues the tradition of Piazzolla, developing and enriching a traditional form of music. For anyone interested in what is happening with Latin music and wants to see the huge range that it can cover, The Soledad Quintet is a gig worth catching. They are only playing one concert in Taipei at the National Concert Hall at 7:45pm tonight. “ Ian Bartholomew, Taïwan
"... Les cinq membres de Soledad suivent individuellement une carrière musicale féconde en expériences qui, à n'en point douter, génèrent ce brassage d'énergie. On pourrait penser qu'un soliste suffirait à mettre en évidence l'écriture de Piazzolla : justement, le discours se poursuit entre cinq solistes des plus talentueux. Equilibre, énergie, humour et recueillement agrémentent les pages d'un album dont on retiendra également les incursions belges de Capelletti et Devreese, sans oublier Iglesias, qui tous trois harmonisent et synthétisent l'esprit, la fougue, dans un langage musical contemporain, mélodique et complémentaire..." Noël Godts – Crescendo
Anouar Brahem : oud
Klaus Gesing : bass clarinet, soprano saxophone
Björn Meyer : bass
Khaled Yassine : darbouka, bendir
For almost forty years and with a current discography spanning no less than 11 albums on the ECM label, Anouar Brahem has been constantly placing the age-old tradition of Arab music, whose emblem is his oud and its superb finesse, in different situations; not only does he set it in contrast against the free spirit and improvisation so typical of modern jazz, but also against the sophisticated harmonies of the erudite compositional tradition of the West and the refined forms of composition in other ancient cultural traditions from the Orient.
He has organized numerous cross-cultural encounters as well as juxtaposing different musical universes, thereby producing unsuspected potential in new but familiarsounding combinations, something which had never been done before. In 2009, he recorded "The Astounding Eyes of Rita", with a new group that included the soft melding of two sounds: the amazing fluidity of German-born Klaus Gesing on bass clarinet and the flowing notes on the bass guitar of Swedish-born Björn Meyer, to give a mixture of ascetic sophistication and sensuous lyricism so typical of oriental music, declined here by the music of the oud with its notes closely interwoven into the percussive background, played by Lebanese artist, Khaled Yassine. This group has had worldwide
success, both for its rich repertoire and the subtlety of the varied instrumentation, and now, ten years later, it is not only totally up-to-the-minute and more enduring and creative than ever, but Anouar Brahem had made a secret pact with himself never to look back and also vowed to renew his inspiration constantly by accompanying each new project with unusual orchestral combinations. So here, recognizing the lasting qualities of this group, he decided to add a new chapter to this story.
His main resource has been these years of shared experiences with the group, where their coherence and self-confidence has been increasing all the time. Anouar Brahem's new adventure puts his own terrain through the prism of this particular sound universe once again, daring to cast a backward glance at his whole career by mixing a few familiar compositions of the quartet with a scattering of older themes from other projects. This leads to further exploration of the orchestral possibilities of a decidedly unusual instrumentation whose origins lie in an extremely up-to-date kind of cross-cultural chamber music. Within this hugely expansive space, Anouar Brahem and his fellowmusicians
create a softly refined, graceful and dream-like world, borrowed as much
from the contemplative oriental tradition as from jazz. The resulting music, rigorously demanding and poetic, moves constantly between modesty and sensuality, nostalgia and contemplation: it is a magnificently intimate spiritual journey to the heart of sound.
Album September 2009, ECM
2019 marks the tenth anniversary of the album. And the interest of the audience is still there, as if it was the first year.
With :
Anouar Brahem: oud
Klaus Gesing: bass clarinet
Björn Meyer: bass
Khaled Yassine: darbouka, bendir
A delightful new assembled by Tunisian oud master Anouar Brahem.
The combination of the bass clarinet with the oud suggests a link to Anouar's Thimar trio, but this East/West line-up often feels closer to the more traditionally-inclined sounds of Barzakh or Conte de l'Incroyable Amour. Klaus Gesing, from Norma Winstone's Trio, and Björn Meyer, from Nik Bärtsch's Ronin, are both players with an affinity for musical sources beyond jazz, and they interact persuasively inside Brahem's music.
A dance of dark, warm sounds, urged onward by the darbouka and frame drum of Lebanese percussionist Khaled Yassine. The album is dedicated to the memory of Palestinian poet Mahmoud Darwish.
Music for oud
Album January 2015, ECM
This project is performed in 2 formations:
- the quartet
with Anouar Brahem (oud), François Couturier (piano), Klaus Gesing (bass clarinet ), Björn Meyer (bass)
- the quartet plus a string orchestra of 20 musicians
Probably Anouar Brahem has never gone so far into the balance between formal elegance and freedom of expression, lyricism and restraint, sensuality and asceticism, as he does here with this new repertoire which seems to ideally synthesize almost fifteen years of his personal and aesthetic quest for an authentic "common understanding" between Orient and Occident. Leading a brand-new Quartet, Brahem here revisits every facet of a musical universe that is at once melancholy and introspective in integrating his sensibilities and instrumental language—undeniably anchored in the Arab tradition—with the Impressionist, evanescent piano of colourist François Couturier, the pulsing sensuality of Björn Meyer's electric bass, and the misty, dreamlike, Nordic romanticism from the bass clarinet of Klaus Gesing.
As if to further emphasize the hybrid nature of his universe, here Brahem plunges his quartet for the first time into the sound-fabric of arrangements that are both sumptuous and minimalist, orchestrating a string-ensemble where the soloists (beginning with the melodic enchantments of the oud) are presented in an organic, voluptuous setting which is particularly stimulating. With ever more refinement in its melodic lines and at once contemplative and subtly narrative in its developments, the music contained in Souvenance possesses those qualities of self-evidence, naturalness and simplicity which are the hallmarks of works of genuine inspiration.
Other show already toured :
Blue Maqam
Album October 2017, ECM
Anouar Brahem: oud
Dave Holland: doublebass
Jack DeJohnette: drums
Django Bates: piano
Prestigious European tours in April 2018 and March 2019 :
Uppsala, Konsert & Kongress (Sweden) | Berlin, Boulez Saal (Germany) | London, Barbican (England) | Dublin, The National Concert Hall (Ireland) | Lyon, Auditorium (France) | Anvers, De Roma (Belgium) | Luxembourg, Philharmonic (Luxembourg) | Morges, Théâtre de Beausobre (Switzerland) | Köln, Kölner Philharmonic (Germany) | Paris, Paris Philharmonic (France) | Blagnac, Odyssud (France) | Zurich, Tonhalle (Germany) | Basel, Musical Theater (Switzerland) | Munich, Philharmoni (Germany) | Hamburg, Elbphilharmonic (Germany) | Lisbon, Gulbenkian Música (Portugal) | Brussels, Palais des Beaux-Arts (Belgium)
For almost forty years, Anouar Brahem, Tunisian composer and oud master, has been creating music both rooted in a highly sophisticated but ancestral culture and eminently contemporary in its global ambition. Anouar appears in many cross-cultural encounters, as well as developing entirely new links and similarities between styles and worlds whose potential closeness had never been considered until he discovered them. For him it was (and still is) a matter of highlighting the age-old Arab tradition of learned music, represented in its finesse by his oud, not only by confronting his instrument with modern jazz, but also with the sophisticated harmonies of the erudite compositional tradition of the West and refined forms from other ancient cultural traditions from the Orient.
His 11 albums on ECM, label acclaimed by the public and international critics alike (including Astrakan Café, Thimar, Le Pas du Chat Noir, Blue Maqams etc.), together with the triumphant success of his haunting music in concerts held in prestigious halls throughout the world, and his fellow-musicians including a remarkable selection of famous jazzmen such as Jan Gabarek, Dave Holland and jack DeJohnette are sufficient evidence to confirm Anouar's place as one of the most fascinating and inspirational artists in the current world of instrumental music.
His sensitive yet rigorous music constantly redefines a cleverly composite universe of poetry and culture, ever balancing between discretion and sensuality, nostalgia and contemplation.
Awards
De Klara's Classical Music Awards: "Best International CD - World" for Blue Maqams (Belgium, 2018)
Echo Jazz Award: "Best International Musician of the Year" for The Astounding Eyes of Rita (Germany, 2010)
Edison Award for Le Voyage de Sahar (The Netherlands, 2006)
Preis der Deutschen Schallplattenkritik (German Record Critics' Award) for Thimar (Germany, 1998)
National Music Award (Tunisia, 1985)
The album is at once an extension and an audacious departure from the tradition of the oud. Despite his formidable knowledge of the maqarnat, an ornate system of modes that anchors Arabic music, he seldom bases his improvisations directly on the maqams. His phrasing is pure and uncluttered, expressing itself through silence nearly as often as sound. ... Composed of elegantly flowing lines and somber, breathlike silences, the music shimmers with the overtones of the piano. ... Mr. Brahem bases several of the tunes on spare, broken chords, repeated in the childlike manner of Satie. Simple though they are, however, they contain beguiling Arabesques. The three musicians rarely appear at once, performing as a trio on only seven of the album's 12 tracks. For the most part, you hear duets - piano and oud, oud and accordion, accordion and oud. The musicians often double each other's lines, but seldom in unison, which enhances the music's intimacy while producing a floating, echo effect.If every band projects "an image of coummunity," as the critic Greil Marcus once suggested, then Mr. Brahem's trio - part takht, part jazz trio, part chamber ensemble - evokes a kind of 21st century Andalusia, in which European and Arab sensibilities have merged so profoundly that the borders between them have dissolved. The image may be utopian, but its beauty is undeniable.
Adam Shatz, The New York Times
Throughout the record, the musicians maintain an exquisite balance and make only subtle changes in tempo or tone. Their sense of melancholy is so natural and comfortable it's childlike. On this tune, "Leila and the Land of the Carousel" a waltzing rhythm and revolving melody suggest a girl on that classic joyride...When he quit the oud for a while and played the piano instead, Anouar Brahem recovered his powers of musical myth-making. On this record, he creates a fairy tale setting and ultimately a storybook ending. The accordion lays down sustained chords like lengthening shadows in a forest. The piano conjures low-key sunlight and offers overtones of reconciliation. And in the arabesque path of "The Black Cat's Footsteps," Brahem finds a way back home to his beloved oud and to the songbird inside.
"All things considered", USA - National Public Radio
Cumparsita
Fugata