New Tango et musique de chambre singulière avec SOLEDAD !
2016 voit Soledad fêter ses 20 ans en trio !
Nouvel album le 21 avril 2017 chez Warner
Distribution :
Manu Comté • accordéon et bandonéon
Alexander Gurning • piano
Jean-Frédéric Molard • violon
2016 voit Soledad fêter ses 20 ans d’existence avec un véritable retour aux sources !
Cette nouvelle formule “trio" emmène vers un épurement des lignes mélodiques et vers une limpidité rythmique. Leur répertoire de prédilection allant de Piazzolla à Ravel en passant par quelques compositions originales est un terrain de jeu où le spectre sonore prends une autre vie.
Entre distillation de couleurs et intensité émotionnelle, ce retour à l’essentiel permet à leur énergie originelle de s’exprimer avec aisance et générosité.
Rendez-vous très prochainement pour des concerts en trio, des surprises et des invités prestigieux !
Soledad s’est établi ajourd’hui comme un des meilleurs ensembles du genre. Ils ont joué aussi bien des grands festivals comme La Roque d’Anthéron, Miami, Montreal, Lugano, que des tournées dans les théatres en Europe, au Canada et au Japon.
Lorsque le groupe Soledad voit le jour en 1995, c'est en explorant la musique de Piazzolla qu'il se fait connaître du public. Au fil du temps, ils adaptent aussi les bandes originales de films de Delvaux et Almodovar, se nourrissent de Stravinsky, Devreese et Gismonti.
Ils poussent leur formation vers un son volcanique et sans concessions; leur cohésion, leur énergie tantôt colorée, tantôt monolithique, trouvent un accueil passionné et direct auprès du public, et sortent 4 albums chez EMI/Virgin Classics.
Si tout leur est permis grâce à leur maîtrise instrumentale issue du classique, chacun d'entre eux distille ses influences personnelles (Contemporain, Jazz, Blues, Fusion, Rock) dans un univers pourtant né d'influences latines.
Avec son nouvel album « Soledad plays Soledad» , il s'agît d'un rebond déjà amorcé par un disque « live » sorti chez Enja en 2010. Leur évolution prend un tournant ici décisif: 17 ans plus tard, le groupe inclut un percussionniste, et en jouant pour la première fois leur propre musique, Soledad repousse les barrières de sa créativité. L'enregistrement inclut aussi le titre « Por Toda Minha Vida » de Tom Jobim, où Soledad collabore avec la chanteuse Maurane.
L'album est sorti mondialement chez Outhere Music en mars 2014.
En accord avec Jazztronaut
SOLEDAD voit le jour en 1995 par la rencontre de cinq jeunes musiciens tous en possession d'une solide formation classique. Séduits par l'oeuvre d'Astor Piazzolla, ils se spécialisent dans l'interprétation du Tango Nuevo. L'originalité de cette formation et sa personnalité suscitent l'intérêt de plusieurs compositeurs d'aujourd'hui comme Frédéric Devreese, Alberto Iglesias, Daniel Capelletti, et amènent également les musiciens du groupe à la création de leurs propres arrangements colorés par leurs influences diverses.
Cette approche actuelle emmène SOLEDAD sur le chemin tracé par Piazzolla et ouvre de nouvelles perspectives musicales. Le groupe a très rapidement obtenu les faveurs des salles. Lors d'un de leurs concerts au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles en avril 2000, ils rencontrent Martha Argerich. Celle-ci les invite alors à se produire avec elle sur différentes scène internationales.
En janvier 2002, SOLEDAD clôture la cérémonie des Victoires de la Musique Classique en direct sur France 3. En décembre 2002, le groupe reçoit un "Choc de l' année" décerné par la rédaction de la revue spécialisée française "Le Monde de la Musique" pour son premier album,"Soledad", chez Virgin Classics. « Univers pathétique et enivrant, martelé d’ivoire, aux arrière-pensées d’Argentine, les douze titres de cet album de tango constituent une course à bout de souffle qui fascine, dans un répertoire qui va d’Astor Piazzolla à Richard Galliano, en passant par Daniel Capelletti, Michel Lysight et Igor Stravinsky. Pour réussir ce coup de maître, il fallait des virtuoses. Les virtuoses, c’est le groupe Soledad. » (Le Monde de la Musique, Georges Gad – 12/2002)
L’Union de la Presse Musicale Belge désigne chaque année un « Jeune Musicien de l’Année ». En 2002, les nominés étaient le pianiste Piotr Anderszewski, le chef d’orchestre Mikko Franck, la soprano Juliane Banse, la violoniste Leila Josefowicz et l’ensemble Soledad.
Le deuxième album de Soledad, au titre évocateur de "Del Diablo", est sorti en 2003 chez Virgin Classics. Le troisième album « Passage » - dédié à la musique du compositeur Frédéric Devreese et avec la collaboration du grand guitariste Philip Catherine - en octobre 2006 sur EMI/Virgin Classics.
Les albums ont reçu les plus grands éloges dans la presse nationale et internationale, et partout le groupe séduit les audiences.
« la musique jouée par Soledad sonne et vibre "Soledad". On en a eu une nouvelle démonstration - éblouissante - vendredi soir, au studio 4 (comble) de Flagey. Visuel rock - fumées et light show -, public mêlant trois générations aux cultures et aux attentes différentes, applaudissements sur la musique après les solos, aucune règle n'était générale, on était hors tout. Soledad a joué pour rendre le public heureux ici et maintenant.» (La Libre, 22/11/2006)
Le dernier album "Soledad - In Concert", (Enja Records) est sorti mondialement en 2010. Enregistré lors de deux soirées magiques dans l'acoustique idéale du studio1 de Flagey à Bruxelles, le répertoire inclut première fois des compositions des membres du groupe, ainsi que des versions sublimes d'oeuvres de Egberto Gismonti, Stravinsky et évidemment Astor Piazzolla pour lequel Soledad a prouvé d'être l'interprète rêvé.
C’est sur les scènes des plus grandes salles et festivals internationaux que l'on retrouve SOLEDAD aujourd'hui, comme le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Suntory Hall de Tokyo,le Grand auditorium du Palais des festivals à Cannes, le Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de La Roque d' Anthéron en France, aux Argerich festival de Taïpeï (Taïwan), de Lugano (Suisse), de Beppu (Japon), le Montreal Jazz Festival,au Festival de réouverture de La maison de la radio Flagey à Bruxelles, à l' Euromeet jazz et aux Veneto Jazz festivals en Italie, à l' Al Bustan Festival au Liban, au Miami Festival en Floride ainsi que des tournées en Europe, au Japon et au Canada.
Les critiques sont unanimes, qu’ils soient spécialisés en musique classique, musique du monde, jazz ou rock : Soledad est impressionnant et subjuge tout public, réunissant une technique parfaite à une sensibilité musicale profonde et une fougue éblouissante.
Avec son nouvel album «SOLEDAD plays SOLEDAD» - en 2012, il s'agît d'un rebond déjà amorcé par un disque « live » sorti chez Enja en 2010. Leur évolution prend un tournant ici décisif: 17 ans plus tard, le groupe inclut un percussionniste, et en jouant pour la première fois leur propre musique, Soledad repousse les barrières de sa créativité. L'enregistrement inclut aussi le titre « Por Toda Minha Vida » de Tom Jobim, où Soledad collabore avec la chanteuse Maurane.
Manu Comté : accordéon
Manu Comté a fondé Soledad en 1995. Il est lauréat de nombreux concours en Belgique et à l’étranger. Il est régent en pédagogie musicale de l’Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie à Namur. Un premier prix en musique de chambre et le diplôme supérieur d’accordéon lui sont attribués avec « la plus grande distinction et les félicitations du jury » à Mons. En 1998 Emmanuel Comté obtient le premier prix de la Ville de Paris, avec les félicitations du jury, dans la classe d’accordéon moderne de Frédéric Deschamps au conservatoire « Lili et Nadia Boulanger », et étudiera également avec Jacques Mornet et Richard Galliano.
En 1996, il fait une tournée mondiale en tant qu’accordéon solo avec la production « Het muziek lodt ». Il a participé à de nombreux concerts en tant que chambriste et soliste en Europe et Amérique latine.
Alexander Gurning piano
Né à Bruxelles en 1973, de parents indonésiens et polonais. Ses études musicales sont fortement marquées par des influences françaises et russes: il commence ses études de piano chez François Henri Aubin, il obtient ensuite un Premier Prix du Conservatoire Royal de Bruxelles dans la classe de Nicole Henriot- Schweitzer, et un Diplôme Supérieur avec la plus grande distinction et les félicitations du jury dans la classe d’Eugène Moguilevsky dont il est alors l’assistant. Il reçoit aussi les conseils de yorgy Sebök et Lev Naoumov et suit plus tard, au Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou, l’enseignement de Victor Merzhanov.
Depuis, on a pu l’entendre dans divers festivals, dont ceux de Beijing, Beppu, Sapporo, de Saratoga, Tanglewood, Schleswig-Hollstein, de Obidos, Sintra, Ravello, Lugano, de La Roque d’Anthéron, et de Verbier. Sa discographie inclut aussi bien de la musique de chambre, avec l’ensemble Soledad (Virgin Classics), avec Renaud Capuçon (EMI), que du répertoire pianistique : son isque paru également chez EMI dans la série « Martha Argerich presents… » en 2004 a été élu « Choc du Monde de la Musique ». En 2011 il a enregistré les Goldberg Variations de J.S. Bach pour le label Avanti Classics. Avec orchestre, Alexander Gurning s’est notamment produit avec l’Orchestre National de Belgique, l’orchestre de la VRO, l’Orchestra della Svizzera italiana, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le Boston Symphony Orchestra et le Philadelphia Orchestra, sous la baguette d’Alexander Rabinovitch, Charles Dutoit et Myung-Wun Chung. Il est membre fondateur de Soledad.
Jean-Frédéric Molard violon
Issu d’une famille de musiciens, Jean-Frédéric Molard commence très jeune le violon avec son père. Après ses études en France au Conservatoire de Tours et au C.N.R. à Paris, il entre au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles où il obtient brillamment le diplôme supérieur de violon (A. Cleve) et celui de musique de chambre. Depuis 1998 il joue entre autres avec le L’Orchestre de Chambre de Wallonie et l’Orchestre Philharmonique de Liège, et depuis 2003 avec Soledad.
"SOLEDAD PLAYS SOLEDAD"
Outhere Music - mars 2014
“SOLEDAD - IN CONCERT”
ENJA Records (sortie mondiale février 2010)
PASSAGE
EMI-VIRGIN CLASSICS (2006)
Soledad plays the music of Frédéric Devreese
Featuring Philip Catherine
“ Depuis leur étourdissante collaboration sur Passage à cinq en 2002, l'ensemble Soledad et le compositeur Frédéric Devreese signent un nouvel album d'une énergie irrésistible, rejoints par le génial improvisateur et guitariste de jazz Philip Catherine. Cette fois, nous sommes entraînés sur le thème virevoltant de la valse qui enrichit les oeuvres du compositeur belge. Frédéric Devreese a lui-même choisi et arrangé les pièces destinées à leur nouvelle rencontre, adaptant certaines de ses musiques de films, quelques morceaux de son ballet Gemini et les finales de ses Deuxième et Quatrième concertos pour piano. Un carrousel d'atmosphères dansantes qui déclinent nos souvenirs et nos émotions en d'éclatantes nuances ! Le cœur bondit quand chaque musicien déploie sa virtuosité en d'ardents solos avant de se fondre à l'ardeur d'une effusion commune, nous laissant à peine le temps de reprendre notre souffle. La vie tourbillonne, exaltante sur le fil d'inquiétantes dissonances ! Etrange et nôtre à la fois, elle s'échappe et séduit, discordante, fascinante, saisie par l'extraordinaire virtuosité d'un ensemble hors du commun. “
Isabelle Françaix - Ramifications, le 29 septembre 2006
DEL DIABLO
EMI-VIRGIN CLASSICS (2004)
Piazzolla, Iglesias, Devreese, Capelletti
"...Sur Del Diablo, on goûte un travail d'acrobate sonore pour un résultat tonique et scintillant, des sensations de vigueur énormes tranchent avec les voluptés des apaisements provisoires.
Là aussi, Soledad, s'inscrit dans la modernité... Dans les centaines de disques à l'Ouest du rock (à l'Est, vous allez vers Dame Classique), très peu ont ce mélange de hargne et d'élégance, de limpidité et d'imagination... Soledad essaie, innove, se donne, expérimente. Bâtit une maison qui ne ressemble pas aux autres..."
Philippe Cornet - le Vif / l' Express
« Les cinq musiciens de Soledad montrent sur leur CD "Del Diablo" qu'ils ne sont pas seulement des instrumentistes virtuoses. Bien plus importants sont leur grande passion et leur plaisir de jouer. La nouvelle du savoir impressionnant de Soledad s'est entre-temps également largement répandue. C'est ainsi que le quintette a déjà donné plusieurs concerts en Italie, en Espagne, en France, au Liban et également au Japon. »
NDRinfo.de
SOLEDAD
EMI-VIRGIN CLASSICS (2002)
Piazzolla, Galliano, Stravinski, Lysight
Choc de l' année 2002 du magazine " Le Monde de la Musique "
" Univers pathétique et enivrant, martelé d’ivoire, aux arrière-pensées d’Argentine, les douze titres de cet album de tango constituent une course à bout de souffle qui fascine, dans un répertoire qui va d’Astor Piazzolla à Richard Galliano, en passant par Daniel Capelletti, Michel Lysight et Igor Stravinsky. Pour réussir ce coup de maître, il fallait des virtuoses. Les virtuoses, c’est le groupe Soledad... "
Georges Gad - Le Monde de la Musique, Décembre 2002
SOLEDAD PLAYS PIAZZOLLA
Chamber (1998)
“Soledad plays Piazzolla” – Chamber (1998)
Télécharger la presse
Ne dit-on pas que l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même ?
Soledad applique enfin cette vérité et joue… Soledad !
On se demande d’ailleurs pourquoi il a mis si longtemps avant de franchir le pas ? Pour construire et affiner son univers ? Pour trouver ou affirmer ses racines ? Ou, au contraire, pour s’en défaire ?
Manu Comte (acc), Alexander Gurning (p), Jean-Frederic Molard (v) et Patrick De Schuyter (g) se sont d'abord forgés une solide réputation en jouant Piazzola, puis Stravinsky, puis Gismonti et puis les autres. Ils ont fait le tour du monde, ont collectionné les récompenses, ont accumulé les reconnaissances. Fallait-il être humble à ce point pour toujours remettre à plus tard la mise en lumière de leurs propres œuvres ?
Pourtant, à l’écoute de ce dernier album, on peut affirmer sans crainte que les compositions originales n'ont rien à envier aux thèmes de Carlos Jobim ou d’Hermeto Pascoal auxquels ils se mêlent. Dans cet album, toute l’âme de Soledad y est définitivement révélée, dessinée, installée. L'expression des sentiments et les différentes émotions sont ici dévoilées avec beaucoup de pudeur ou, au contraire, jetées avec une fougue libératrice.
Les arrangements sophistiqués et les exposés d’idées en mode «champs contre champs» (Soledad n’a pas travaillé les musiques de films pour rien), nous font passer des sentiments joyeux et faussement insouciants à d’autres, plus intimes et indicibles… Oui, Soledad remue.
Cette mixture délicate et puissante d’accordéon, de guitare, de violon et de piano est soutenue par la contrebasse chantante de Sam Gertsmans et rehaussée par les percussions chaleureuses de Michel Seba. Si ces deux derniers viennent de rejoindre Soledad, c’est peut-être plus pour renforcer l'esprit du groupe que pour le faire changer. Quoique… On perçoit un frémissement plus jazz par-ci, un emballement plus funk par-là, des accentuations plus rock ailleurs. Oui, Soledad brouille les pistes et mélange ces tensions qui libèrent le souffle, l'air et la vie et qui rendent la mélancolie salutaire. On devine toujours la sensualité moite d’une danseuse de tango prête à s'écrouler avant qu’elle ne soit retenue, in extremis, par son compagnon.
«Eden» s’éveille petit à petit avant de groover sous la pulse de Michel Seba, «Victor» s’emballe sur des riffs de guitares rock, un léger esprit Philip Catherinien vient caresser «Moonmist», «Rebound» sautille aux sons d’un piano et d’un accordéon enivrés de soleil, «Recco» réinvente la new-musette, «Homilia» fait s’accorder à l’unisson le bandonéon et le violon tandis que Maurane prête sa voix à un «Por Toda A Minha Vida» déchirant.
Sur la pochette, un marteau frappe le plancher – à la façon du talon des chaussures de flamenco – comme pour briser quelque tabou. Soledad joue Soledad et c’est une certaine idée de la tradition qui est revisitée par la modernité. Et c’est bon.
http://jazzques.skynetblogs.be/ 10 janvier 2013
"En écoutant le groupe Soledad, j'ai été frappée par leur rare intensité. Réunissant intelligence, savoir-faire et sex-appeal, ils m'ont transportée dans le monde mystérieux et tragique du tango." Martha Argerich
"Le swing, la rage, l'émotion, la sonorité : Soledad... Enfin un groupe de merveilleux Musiciens qui joue la musique d'Astor Piazzolla comme elle doit être jouée... avec Passion. Je suis certain que si Astor Piazzolla était encore parmi nous il dirait, comme il m'a dit souvent lors de collaborations : "Vous avez fait un bon travail !"
Je tiens à féliciter Soledad pour la version de Tango pour Claude. Magnifique !
Un disque E-PA-TANT.
Musicalement votre, " Richard Galliano
« Initialement voué au "tango nuevo", mais sans exclusive, l'ensemble Soledad se dota d'emblée d'un son, d'un style et d'une ambiance propres; quels qu'en soient les compositeurs - mais justement, ils ne sont jamais quelconques - la musique jouée par Soledad sonne et vibre "Soledad". On en a eu une nouvelle démonstration - éblouissante - vendredi soir, au studio 4 (comble) de Flagey, lors d'un concert essentiellement voué à la musique de Devreese, où le quintette se fit aussi sextuor, rejoint en deuxième partie par Philippe Catherine, pour proposer tango, "musique contemporaine" et jazz, avec même quelques passages d'improvisation (à six !).
Visuel rock - fumées et light show -, public mêlant trois générations aux cultures et aux attentes différentes, applaudissements sur la musique après les solos, etc. aucune règle n'était générale, on était hors tout. (...) Il n'y avait vendredi aucune nécessité de background, et, partant, aucune arrière-pensée prosélyte du type : "amener le grand public à la grande musique". En pleine possession d'un répertoire "contemporain" devenu sien, Soledad a joué pour rendre le public heureux ici et maintenant. Sans jamais quitter le plus haut niveau technique - la virtuosité -, ce qui reste encore un domaine objectif et une condition indispensable pour entrer dans le champ artistique. (...) » Martine D. Mergeay - La Libre Belgique
“...on goûte un travail d'acrobate sonore pour un résultat tonique et scintillant, des sensations de vigueur énormes tranchent avec les voluptés des apaisements provisoires. Là aussi, Soledad, s'inscrit dans la modernité... Dans les centaines de disques à l'Ouest du rock (à l'Est, vous allez vers Dame Classique), très peu ont ce mélange de hargne et d'élégance, de limpidité et d'imagination... Soledad essaie, innove, se donne, expérimente. Bâtit une maison qui ne ressemble pas aux autres..." Philippe Cornet - le Vif / l’Express
Getting passionate about tango
“…The Soledad Quintet, a group of highly talented musicians, came together to perform the music of Piazzolla, bringing to it their skills as chamber musicians./…/ In any case, Soledad has created its own arrangements for its somewhat unconventional array of instruments. The group is made up of violin, piano, guitar, double bass and accordion. Their success as interpreters of Piazzolla has led to interest in the group by other contemporary composers. Soledad achievement has been recognized by the classical music establishment, especially in its association with Martha Argerich, who first heard them in 2000. With her support, they performed at the Royal Conservatoire in Brussels in 2001 and visited Taipei last year as part of the Martha Argerich Festival in April.
In effect, the group continues the tradition of Piazzolla, developing and enriching a traditional form of music. For anyone interested in what is happening with Latin music and wants to see the huge range that it can cover, The Soledad Quintet is a gig worth catching. They are only playing one concert in Taipei at the National Concert Hall at 7:45pm tonight. “ Ian Bartholomew, Taïwan
"... Les cinq membres de Soledad suivent individuellement une carrière musicale féconde en expériences qui, à n'en point douter, génèrent ce brassage d'énergie. On pourrait penser qu'un soliste suffirait à mettre en évidence l'écriture de Piazzolla : justement, le discours se poursuit entre cinq solistes des plus talentueux. Equilibre, énergie, humour et recueillement agrémentent les pages d'un album dont on retiendra également les incursions belges de Capelletti et Devreese, sans oublier Iglesias, qui tous trois harmonisent et synthétisent l'esprit, la fougue, dans un langage musical contemporain, mélodique et complémentaire..." Noël Godts – Crescendo
The Astounding Eyes of Rita
, an EMC album.
This year marks the tenth anniversary of the album. And the interest of the audience is
still there, as if it was the first year.
On tour 2019/2020
With:
Anouar Brahem: oud
Klaus Gesing: bass clarinet
Björn Meyer: bass
Khaled Yassine: darbouka, bendir
A delightful new assembled by Tunisian oud master Anouar Brahem.
The combination of the bass clarinet with the oud suggests a link to Anouar's
Thimar trio, but this East/West line-up often feels closer to the more
traditionally-inclined sounds of Barzakh or Conte de l'Incroyable Amour.
Klaus Gesing, from Norma Winstone's Trio, and Björn Meyer, from Nik Bärtsch's Ronin, are
both players with an affinity for musical sources beyond jazz, and they interact
persuasively inside Brahem's music.
A dance of dark, warm sounds, urged onward by the darbouka and frame drum of Lebanese
percussionist Khaled Yassine. The album is dedicated to the memory of Palestinian poet
Mahmoud Darwish.
Blue Maqams
, new album, October 13th 2017, ECM
With:
Anouar Brahem: oud
Dave Holland: doublebass
Jack DeJohnette: drums
Django Bates: piano
Prestigious European tours in April 2018 and March 2019
Uppsala, Konsert & Kongress (Sweden) | Berlin, Boulez Saal (Germany) | London, Barbican (England)
| Dublin, The National Concert Hall (Ireland) | Lyon, Auditorium (France)
| Anvers, De Roma (Belgium) | Luxembourg, Philharmonic (Luxembourg)
| Morges, Théâtre de Beausobre (Switzerland) | Köln, Kölner Philharmonic (Germany)
| Paris, Paris Philharmonic (France) | Blagnac, Odyssud (France) | Zurich, Tonhalle (Germany)
| Basel, Musical Theater (Switzerland) | Munich, Philharmoni (Germany) | Hamburg, Elbphilharmonic (Germany)
| Lisbon, Gulbenkian Música (Portugal) | Brussels, Palais des Beaux-Arts (Belgium)
Potential 2020/2021 tour with:
Anouar Brahem: oud
Dave Holland: doublebass
Django Bates: piano
Nasheet Waits: drums
In recent years Anouar Brahem has carried his ideas on marrying the formal sophistication
of Western chamber music and the richness of the age-old Arab musical tradition a long
way. But now, with Blue Maqams, he is taking up his fascination for jazz once again.
Here, we might say he picks up again where he left off twenty years ago with the album
Thimar. This time round, he planned another small group with some highly talented
jazzmen for his new recording to be made in New York in spring, 2017. In fact, this was to
be a delightful reunion including Dave Holland again, plus the jubilation and harmonic
sophistication of Django Bates on piano and the subtle rhythms of legendary drummer Jack
DeJohnette. Based on original compositions combining superb melodic refinement with a
deliberately simple formal organization to allow space and total freedom for the powerful
creative talent of whoever is improvising, Anouar Brahem develops a lyrical universe here
that is both utterly coherent in aesthetic terms, whilst offering a wide range of varying
moods. Showing his total commitment to rhythm as well as expression, he works simultaneously
on finely woven blends of timbre, the delicate balance of the dynamics between
instruments and the ever-richer passages constant interaction between these great
improvisers gives rise to.
In April 2018, a few months after the official release date of the album, the quartet
undertook a tour across Europe where they appeared in several large, prestigious concert
halls such as the Philharmonie de Paris, the Elbphilharmonie in Hamburg and the
Philharmonie in Munich.
Souvenance
, former album, January 2015, ECM
On tour 2019/2020
Music for oud
This project is performed in 2 formations:
- the quartet
with Anouar Brahem (oud), François Couturier (piano), Klaus Gesing (bass clarinet ), Björn Meyer (bass)
- the quartet plus a string orchestra of 20 musicians
Probably Anouar Brahem has never gone so far into the balance between formal elegance and
freedom of expression, lyricism and restraint, sensuality and asceticism, as he does here
with this new repertoire which seems to ideally synthesize almost fifteen years of his
personal and aesthetic quest for an authentic "common understanding" between Orient and
Occident. Leading a brand-new Quartet, Brahem here revisits every facet of a musical
universe that is at once melancholy and introspective in integrating his sensibilities and
instrumental language—undeniably anchored in the Arab tradition—with the Impressionist,
evanescent piano of colourist François Couturier, the pulsing sensuality of Björn Meyer's
electric bass, and the misty, dreamlike, Nordic romanticism from the bass clarinet of
Klaus Gesing.
As if to further emphasize the hybrid nature of his universe, here Brahem plunges his
quartet for the first time into the sound-fabric of arrangements that are both sumptuous
and minimalist, orchestrating a string-ensemble where the soloists (beginning with the
melodic enchantments of the oud) are presented in an organic, voluptuous setting which is
particularly stimulating. With ever more refinement in its melodic lines and at once
contemplative and subtly narrative in its developments, the music contained in
Souvenance possesses those qualities of self-evidence, naturalness and simplicity
which are the hallmarks of works of genuine inspiration.
Biography
Review
Cumparsita
Fugata